mercredi 16 décembre 2015

Quand on accouche

Après la version selon le point de vue de mon intimité, 
voici la mienne (et celle de mon bien aimé)








 
                                           















Petit anecdote en sortant de la salle




5 commentaires:

  1. J'ai trop aimé ce petit récit !
    Moi je suis trop flipée (mais encore plus flipée de la péridurale, c'est mort, personne me colle d'aiguille nulle part, ça va pas être possible)et du coup, ça donne ta vision et ça rassure vachement je trouve.
    Même si, bien sûr, ça doit faire un mal de chien.
    Merci pour le partage d'expérience :-)

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    1. Merci pour tes commentaires et tes encouragements. Ecoute moi aussi c'était LA peur de ma vie d'accoucher, et du coup je me suis hyper préparée et ça a marché. Je te conseille à mort de trouver une haptonome ou une sache-femme qui sera entendre cette crainte et te faire des "simulations" d'accouchement. Au final on accouche pas du tout comme prévu :p mais en ce qui concerne les contractions elle a vraiment su me montrer comment respirer et comment "pousser"/souffler le douleur vers le bas et l'extérieur. Pour moi ça à hyper bien marcher, un peu trop :) j'ai failli accoucher dans la voiture!

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  2. Tu as méga bien géré !!!! Bravo ! Et je ne vous ai pas encore félicité mais je suis bien contente pour vous :)

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  3. Ahah, t'inquiète. Parce qu'à moins que tu veuilles récidiver sans péri, la prochaine fois, quand ça commenceras à contracter, tu iras beaucoup plus vite à la maternité. Du coup, y'aura pas le feu au lac, t'auras le temps de te préparer correctement, en tout cas assez bien pour te sentir psychologiquement dans tes baskets.

    Perso, la première fois, c'est arrivé très vite (plus vite que toi - j'ai pas essayé de "gérer à la maison") mais je me suis douchée et habillée / coiffée normalement, parce que je sentais que j'allais pas voir une douche d'ici un petit paquet de temps et que j'aurais besoin de me sentir bien dans mon corps (donc propre, ce qui n'est pas forcément le cas quand je me lève le matin).

    La deuxième fois, je rentrais du taff, donc j'étais présentable.

    T'as travaillé longtemps à la maison ? Attendre le tout dernier moment pour partir, c'était délibéré ?

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  4. Maintenant que tu m'y fais réfléchir, c'est très vrai, le coup des "blancs" dans les souvenirs quand le travail est avancé et que ça douille sec... parfois, j'essaie de me rappeler d'un truc et j'en suis totalement incapable.

    Je suis d'accord aussi avec toi qu'on n'oublie pas quel point ça fait mal (mais l'avantage, c'est qu'on se dit que ça peut pas être pire la prochaine fois, vive la péri) !

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